Norah Jones annonce « Day Breaks »

Norah Jones annonce « Day Breaks »

Avec « Day Breaks », Norah Jones revient à ses racines Jazz

Norah Jones annonce la sortie de son prochain album, « Day Breaks », à paraître le 07 octobre. Avec ce nouvel opus splendide, la pianiste chanteuse revient à ses racines jazz. La boucle est bouclée.

250-250_couv-day-breaksDans son 7ème album en solo, elle revient à ses racines et au piano. Sur « Day Breaks » (Blue Note/Universal), Norah Jones entremêle avec une rare subtilité country, folk, rock, soul et jazz. Elle est cette fois accompagnée par de véritables légendes du jazz comme le saxophoniste Wayne Shorter, l’organiste Dr Lonnie Smith et le batteur Brian Blade déjà présent sur son premier disque et dont le jeu constitue l’épine dorsale de ce nouvel album.

Cet album à découvrir le 07 octobre compte douze titres. Neuf compositions originales. toutes écrites ou co-écrites par Norah Jones300-72Norah-Jones-v2 et des reprises d’Horace Silver (Peace), Duke Ellington (Fleurette Africaine) et Neil Young (Don’t be denied).

Norah Jones exprime la richesse et la diversité de la musique américaine et en attendant la sortie de l’album le 07 octobre, on écoute le titre Carry On dont la tonalité apaisante rappelle un peu l’ambiance de son premier album « Come Way with me ».

Outre l’écoute de ce premier single, il convient de noter sur l’agenda des concerts de cette fin d’année, celui de Norah Jones qui sera à Lyon le 11 novembre à 20h, à l’Amphithéâtre 3000 de la Cité Internationale.

Clin d’œil à Nils Wülker & « Go »

Clin d’œil à Nils Wülker & « Go »

Pour l’homme toujours en mouvement qu’est Nils Wülker, rien d’étonnant à ce que son dernier album sorti le 04 septembre 2020 s’intitule « Go ». Le compositeur et trompettiste hambourgeois opère une plongée réussie dans la musique électronique. Dix titres pour découvrir des atmosphères énergiques ou planantes, cinétiques ou oniriques. Un voyage serein qui conjugue joie de vivre et espoir en devenir.

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Harold López-Nussa revient avec « Te Lo Dije »

Harold López-Nussa revient avec « Te Lo Dije »

Deux ans après « Un Día Cualquiera, Harold López-Nussa revient avec « Te Lo Dije ». Sur son troisième album chez Mark Avenue Records, le pianiste cubain propose une voyage musical coloré et festif. Reggaeton, Songo et Mozambique irriguent les propos du quartet et de ses invités. Une musique énergique et très actuelle dont les accents vibrants mêlent jazz et pop cubaine.

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Le duo Peirani – Parisien signe « Abrazo »

Le duo Peirani – Parisien signe « Abrazo »

Six ans après leur premier album « Belle Époque », le duo Peirani – Parisien revient avec « Abrazo ». Le saxophoniste et l’accordéoniste étreignent les mélodies, explorent les rythmes et revisitent à leur manière le tango. Élégant et mélancolique, l’opus fait la part belle à l’improvisation. Un album magistral dont la musique enchante de bout en bout.

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Ambronay 2016 – Les concerts du Chapiteau

Ambronay 2016 – Les concerts du Chapiteau

Vibrations et voix magnétiques sous le Chapiteau d’Ambronay

Renommé pour la qualité de sa programmation des grandes œuvres baroques, le Festival d’Ambronay 2016 propose aussi des concerts de Musiques du Monde sous le Chapiteau tous les samedis soirs à 21h.

Depuis 37 ans le Festival de Musique Baroque d’Ambronay contribue à la promotion de la Musique Baroque, de ses auteurs, ses œuvres, ses interprètes d’aujourd’hui et ceux de demain 300_logo ambronaydont il favorise l’émergence (Festival eemerging). En 2016 on se laissera éblouir par les Vibrations des Lumières avec une programmation tout en contrastes et clairs-obscurs.

Le Festival se déroule du 16 septembre au 09 octobre 2016. Si les voûtes sonores de l’Abbatiale d’Ambronay demeurent un écrin incomparable pour les voix et les orchestres, la Salle Monteverdi accueille toujours des concerts précieux. La musique résonne aussi à Bourg en Bresse, à Ambérieu-en-Bugey et à Villieu-Loyes-Mollon. Par ailleurs, l’association avec l’Auditorium-Orchestre National de Lyon se poursuit. Pour connaître plus précisément la programmation des quatre week-ends, la consultation du site du Festival d’Ambronay s’impose.

Cette année encore, Daniel Bizeray, Directeur du Festival d’Ambronay promet des moments festifs sous le Chapiteau. Cet espace est en quelque sorte devenu un lieu où règne une liberté musicale certaine. Le programme des « réjouissances sous le Chapiteau » est alléchant. En effet de nombreuses voix magnétiques sont programmées tous les samedis à 21h. De plus, à l’issue de chaque concert les festivités se prolongent par des « afters » (entrée libre) dès 22h30 au Bar du festival.

Le samedi 17 septembre à 21h, le Chapiteau propose une soirée « Entre deux Mondes » avec Las Hermanas Caronni et leur musique métissée. Laura Caronni (voix, violoncelle) et Gianna Caronni (voix, clarinette) sont en effet de vraies musiciennes du monde. Si l’Argentine a fondé leur identité, les jumelles naviguent aujourd’hui entre les musiques de l’Ancien et du Nouveau Monde. Fortes de leur bagage musical classique elles se jouent des styles et déjouent les modes. Leur dernier opus « Navega Mundos » (Les Grands Fleuves/Harmonia Mundi) sorti en 2015 donne à écouter une musique sans frontières.

Le concert du 17 septembre se profile sous les auspices de la finesse et du dépaysement.

Le samedi 24 septembre à 21h, toute la lumière et la beauté du Maroc vont irradier le Chapiteau. En effet, la voix de la chanteuse Oum brille comme un « Astre du Désert ». Inspirée par le Jazz et l’Orient, Oum étonne par l’étendue de ses capacités vocales. Son album « Zarabi » (Lof Music/Harmona Mundi) sorti en 2016, propose une musique marocaine hors du temps. La chanteuse s’exprime en darija (dialecte marocain) pour conter l’universel de la féminité. Une orchestration originale, voix, oud, trompette, percussions et contrebasse au service d’une musique qui réalise la fusion entre soul et chant oriental.

La soirée du 24 septembre est annonciatrice de vibrations inspirées et empreintes de grâce.

Le samedi 01 octobre à 21h, le Chapiteau vibre de la « chanson française déjantée » du trio Triwap. Un programme  prometteur est annoncé… Et si on s’en mêlait !? Il s’agit d’un spectacle total, chanté et joué, drôle et musical. Trois trublions brillants, touche-à-tout, multi-instrumentistes et comédiens. Emmanuel Lanièce (piano, guitare, voix), Pierre Leblanc-Messager (trombone, flûte à bec, chant) et Martin Pauvert (Contrebasse, piano, guitare, chant) se promènent dans des répertoires variés. De Dutronc à Stevie Wonder en passant par les Bee-Gees.

Wap doo wap ! Le spectacle s’annonce joyeux et inventif le 01 octobre.

300-72_Virevolte-©Pierre-ComblerLe samedi 08 octobre à 21h, ViréVolte invite à un « Voyage au bout de la Nuit » sous le Chapiteau d’Ambronay. Réunis autour de la chanteuse Aurore Bucher, les musiciens de Virévolte décloisonnent la musique populaire et la musique savante. Ils proposent un nouveau répertoire avec des arrangements inédits. Les instruments baroques se mettent au service du jazz, la guitare folk ranime Bach et Haendel, la clarinette s’immisce dans la musique ancienne. Ainsi Dowland et Bashung, Mozart et Sinatra se télescopent. Une chanson de Dalida devient même un air d’opéra !

Le bulletin météo de ce 08 octobre annonce un tourbillon musical qui va virévolter et illuminer la nuit.

En quittant le Chapiteau après ces quatre soirées, avant de reprendre la route, il est possible de poursuivre les festivités. En effet dès 22h30 le Bar du festival est ouvert pour une fin de soirée conviviale. Depuis 2014, cette formule des « afters » permet de retrouver les artistes écoutés sous le chapiteau à 21h. Il est d’ailleurs tout à fait possible d’échanger avec eux en toute liberté.

Tout un programme : « After Métissé » le 17 septembre, « After Musique du monde » le 24 septembre, « After Déjanté » le 01 octobre et pour finir « After Baroque et pop » le 08 octobre. Il serait vraiment dommage de bouder son plaisir !

Clin d’œil à Nils Wülker & « Go »

Clin d’œil à Nils Wülker & « Go »

Pour l’homme toujours en mouvement qu’est Nils Wülker, rien d’étonnant à ce que son dernier album sorti le 04 septembre 2020 s’intitule « Go ». Le compositeur et trompettiste hambourgeois opère une plongée réussie dans la musique électronique. Dix titres pour découvrir des atmosphères énergiques ou planantes, cinétiques ou oniriques. Un voyage serein qui conjugue joie de vivre et espoir en devenir.

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Harold López-Nussa revient avec « Te Lo Dije »

Harold López-Nussa revient avec « Te Lo Dije »

Deux ans après « Un Día Cualquiera, Harold López-Nussa revient avec « Te Lo Dije ». Sur son troisième album chez Mark Avenue Records, le pianiste cubain propose une voyage musical coloré et festif. Reggaeton, Songo et Mozambique irriguent les propos du quartet et de ses invités. Une musique énergique et très actuelle dont les accents vibrants mêlent jazz et pop cubaine.

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Le duo Peirani – Parisien signe « Abrazo »

Le duo Peirani – Parisien signe « Abrazo »

Six ans après leur premier album « Belle Époque », le duo Peirani – Parisien revient avec « Abrazo ». Le saxophoniste et l’accordéoniste étreignent les mélodies, explorent les rythmes et revisitent à leur manière le tango. Élégant et mélancolique, l’opus fait la part belle à l’improvisation. Un album magistral dont la musique enchante de bout en bout.

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Festival Jazz Campus en Clunisois 2016

Festival Jazz Campus en Clunisois 2016

40 ans pour Jazz Campus en Clunisois. Ça se fête !

Pour sa quarantième édition, « Jazz Campus en Clunisois » donne rendez-vous au Jazz et aux Musiques improvisées, du 13 au 20 août. Grâce à la ténacité de Didier Levallet, ce festival aux dimensions humaines propose une vision renouvelée d’un jazz foisonnant et toujours en mouvement.

Campus-2016-AFFICHE-2-150x150« Jazz Campus en Clunisois » Des musiciens créatifs au long cours et de nouveaux venus qui sont les enchanteurs de demain font vivre une programmation attractive où alternent concerts pique-nique gratuits et soirées en salle. Sans oublier en fin de festival la restitution du travail réalisé par les stages durant les 6 ateliers proposés cette année.

« Jazz Campus en Clunisois » C’est aussi l’occasion pour les festivaliers de découvrir ou de retrouver le Clunisois. la ville de Cluny bien sûr avec tous ses attraits mais aussi Berzé le Châtel, Matour, Dompierre les Ormes et les paysages verdoyants de la Bourgogne du Sud.

« Jazz Campus en Clunisois« . 7 jours, 6 lieux différents, 11 groupes de musiciens composés de 49 artistes de renommée internationale. Le programme de la semaine est alléchant.

1511637_605825036158931_1305750752_nLe samedi 13 août à 21h, c’est dans le parc de la Maison des Patrimoines de Matour qu’on a rendez-vous avec le duo de Raphaël Schwab (contrebasse) & Julien Soro (/saxophone alto). Les deux complices proposent un jazz tout en poésie, humour, lyrisme. Concert gratuit.

Le lundi 15 août à 21h, direction Dompierre les Ormes pour écouter Busking, un autre duo d’improvisateurs : la contrebassiste Busking-©-Eric-Legret-1-150x150Hélène Labarrière et le guitariste Hasse Poulsen. Leur nouvelle aventure explore  « la chanson sans les mots ». La chanson, souvenir d’enfance au pays des rêves, des perles de la variété française, des trésors du mythe américain. Les cordes de ces deux explorateurs se frottent et s’emmêlent, pour encore plus d’intimité, de partage, avec jubilation et profondeur. Tout un programme à découvrir pour les oreilles curieuses.

Le mardi 16 août à 21h, on retrouve le Théâtre les Arts de Cluny pour une soirée en deux parties.

D’abord Spring Roll avec Sylvaine Hélary (flûte traversière, voix), Antonin Rayon (piano), Hugues Mayot (sax), clarinette et Sylvain Lemêtre (vibraphone, percussions). Un programme instrumental intitulé « Printemps » s’appuyant souvent sur des textes, en référence à ce qu’on a appelé le « printemps arabe », notamment en Egypte. Une musique sans peur et sans reproche comme une résonnance du présent

MOHAMED ABOZEKRY QUINTETLa seconde partie de soirée appartient à Mohamed Abozekry & Heejaz extended avec le oudiste Mohamed Abozekry, Anne-Laure Bourget (percussions), Hugo Reydet (contrebasse), Ludovic Yapoudjian (piano) et  Benoit Baud (saxophone). Une « musique univers » qui emprunte l’énergie du rock, l’improvisation du jazz et chevauche les mélodies du monde à la sensibilité orientale. A découvrir de tout urgence si ce n’est pas encore fait ou à réécouter pour apprécier de nouveau cette musique singulière et énergique.

Le mercredi 17 août à 18h45 on rejoint le Château de Berzé le Chatel pour un Stabat Mater Furiosa. Association du Théâtre et de la Musique. La musicienne Patricia Dallio, adepte de la création en musique électronique via des capteurs de mouvements, et la comédienne Catriona Smith-Morrison proposent le texte incandescent de Jean-Pierre Siméon dans une « version allégée ». On nous promet une très forte expérience.

Risser-DR-150x150Le mercredi 17 août on prend la direction de Cluny pour le Théâtre Les Arts à 21h où l’on retrouve Eve Risser et son White Desert Orchestra. La pianiste et compositrice Eve Risser dirige un ensemble de dix musiciens, composé de représentants de sa génération, celle qui marie technicité à toute épreuve, ouverture artistique tous azimuts et sens de la prise de risque. Elle nous fait parcourir les canyons américains sur les ailes d’une musique qui allie jazz, la musique classique et contemporaine. Une rêverie un peu savante et sérieuse qui surprend quelquefois. Un voyage dépaysant.

Le jeudi 18 août à 18h45 on retourne au Château de Berzé le Châtel pour un autre duo. La voix de Andreas Schaerer et la batterie de Lucas Niggli. l’idiome est moderne. Le vocaliste beat boxeur virtuose rivalise avec l’un des percussionnistes les plus inventifs de la scène européenne actuelle. Créativité et improvisation à la clef. Leur langage a de quoi surprendre.

MarcDucret_ByMaaritKytöharju_PoriJazz2010La soirée du 18 août se déroule à Cluny. A partir de 21h, la scène du Théâtre Les Arts appartient au guitariste Marc Ducret. Pour sa première venue au Festival Jazz Campus en Clunisois, le guitariste annonce la couleur… Métatonal. Marc Ducret a su marier les éléments constitutifs du rock et ceux du jazz. Son idiome est devenu une référence. En trio avec ses habituels compagnons Eric Echampard (batterie) et Bruno Chevillon (contrebasse) il invite trois vents, et pas n’importe lesquels. Rien moins que le saxophoniste Christophe Monniot, le trompettiste Fabrice Martinez et le tromboniste Samuel Blaser. La soirée promet son pesant de son.

PossibleS-quartet-DR-1-150x150A 12h30 le vendredi 19 août, invitation à un pique-nique au Haras National de Cluny pour écouter  le Possible(S) quartet. Quatre instrumentistes à vent lâchés dans la nature. On retrouve Rémi Gaudillat (trompette, bugle), Fred Roudet trompette), Loïc Bachevillier (tuba) et Laurent Vichard (clarinette). Au programme, compositions originales et improvisations élégantes. Tout est possible.

Après Coutances et le Mans, la folie de « Brotherhood Heritage » vient à Jazz Campus en Clunisois le vendredi 19 août. A 21h l’orchestre est sur la scène du Théâtre les Arts de Cluny pour une soirée plus que prometteuse.

Ce projet actuel, « Brotherhood Heritage », piloté à la demande de plusieurs festivals par le pianiste François Raulin et le contrebassiste Didier Levallet, a pour objectif de redonner à entendre la musique de La Confrérie du Souffle (Brotherhood of Breath).

© Patrick Audoux Issu d’un orchestre sud-africain multiracial, ce big band émigré en 1966 en Europe pour cause d’apartheid, est né dans les années 70 à Londres. Il a laissé une empreinte profonde dans les mémoires. Il enflamme la scène européenne du jazz, opérant une jonction explosive entre les musiques populaires d’Afrique du Sud et l’avant-garde des improvisateurs britanniques, sous la houlette du pianiste Chris Mc Gregor, jusqu’en1990.

Les musiciens réunis dans l’orchestre expriment la quintessence de plusieurs générations de jazzmen français (et un anglais qui fit partie, comme Didier Levallet, des dernières moutures de l’orchestre historique). Sont réunis sur scène : François Raulin (piano, arrangements), Didier Levallet (contrebasse, arrangements), Chris Biscoe, Raphaël Imbert, François Corneloup (saxophones), Michel Marre, Alain Vankenhove (trompette), Jean-Louis Pommier,  Mathias Mahler (trombone), Simon Goubert (batterie).

Tous partagent l’envie de renouer avec ce répertoire prenant sa source dans les très prenantes mélodies sud-africaines, et conjuguant le chant, immédiatement saisissable et porteur d’un lyrisme puissant, avec la liberté de parole de chaque interprète.Emile-Parisien-4tet-DR-150x150

Le samedi 20 août, rendez-vous pour la soirée de clôture de « Jazz Campus en Clunisois » à 21h au Théâtre les Arts de Cluny le saxophoniste Émile Parisien et son Émile Parisien Quartet. Le super doué du saxophone vient délivrer son message avec Julien Touéry (piano), Ivan Gélugne (contrebasse) et Julien Loutelier (batterie). Des virtuoses au discours charpenté et original.

« Jazz Campus en Clunissois ». Un festival fidèle à ses valeurs. …« foisonnement  de propositions, points de vue, dialogues de cultures, … pont entre des attitudes créatrices immémoriales, comme restant en nos besoins les plus ancestraux d’expression, et la nécessité d’aller de l’avant, en défrichant avec jubilation les territoires du présent et imaginant ceux en devenir…. »  Didier Levallet

Clin d’œil à Nils Wülker & « Go »

Clin d’œil à Nils Wülker & « Go »

Pour l’homme toujours en mouvement qu’est Nils Wülker, rien d’étonnant à ce que son dernier album sorti le 04 septembre 2020 s’intitule « Go ». Le compositeur et trompettiste hambourgeois opère une plongée réussie dans la musique électronique. Dix titres pour découvrir des atmosphères énergiques ou planantes, cinétiques ou oniriques. Un voyage serein qui conjugue joie de vivre et espoir en devenir.

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Harold López-Nussa revient avec « Te Lo Dije »

Harold López-Nussa revient avec « Te Lo Dije »

Deux ans après « Un Día Cualquiera, Harold López-Nussa revient avec « Te Lo Dije ». Sur son troisième album chez Mark Avenue Records, le pianiste cubain propose une voyage musical coloré et festif. Reggaeton, Songo et Mozambique irriguent les propos du quartet et de ses invités. Une musique énergique et très actuelle dont les accents vibrants mêlent jazz et pop cubaine.

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Le duo Peirani – Parisien signe « Abrazo »

Le duo Peirani – Parisien signe « Abrazo »

Six ans après leur premier album « Belle Époque », le duo Peirani – Parisien revient avec « Abrazo ». Le saxophoniste et l’accordéoniste étreignent les mélodies, explorent les rythmes et revisitent à leur manière le tango. Élégant et mélancolique, l’opus fait la part belle à l’improvisation. Un album magistral dont la musique enchante de bout en bout.

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Jazz estival 2016 au Péristyle de l’Opéra de Lyon

Jazz estival 2016 au Péristyle de l’Opéra de Lyon

« Jazz (f)estival » sous le Péristyle de l’Opéra

Du 09 juin au 03 septembre 2016 les concerts jazz du Péristyle reprennent leurs quartiers d’été sous les arcades de l’Opéra. Versant estival de l’Amphi-Jazz, le Péristyle est un repère musical incontournable du paysage lyonnais. Un café-jazz en terrasse où il fait bon écouter de la musique tout l’été. 

peristyle-cb-mouthFréquenter le Péristyle en été, c’est la certitude de retrouver toutes les couleurs musicales du jazz régional programmées par les bons soins de François Postaire, directeur de l’Amphithéâtre de l’Opéra. Au plus chaud de l’été les arcades offrent un havre de fraîcheur et même si le ciel se déchaîne, elles demeurent un abri bienveillant qui protège des averses ou orages.

Si le Péristyle est ouvert du lundi au vendredi de 9h à 23h, les concerts de jazz, gratuits et sans réservation, se déroulent en trois sets du lundi au samedi à 19h, 20h15 et 22h avec par exemple en option, apéro, repas et/ou dessert. La musique s’écoute seul(e) ou se partage entre amis.

A chacun sa manière de fréquenter le péristyle. Les amateurs de surprise s’y rendront les yeux fermés à l’heure qui leur convient pour découvrir les musiciens programmés sans en savoir plus et savourer ainsi le plaisir de la découverte. Les amoureux de jazz feront leur choix pour découvrir des musiciens ou pour ré-écouter ceux qu’ils affectionnent. Pour organiser ces flâneries et dégustations musicales, rien de mieux que la programmation disponible en ligne sur le site de l’Opéra. Elle précise les styles programmés et propose même des écoutes musicales.

Si tous les rendez-vous valent leur pesant d’or, on a repéré cet été quelques balises musicales comme des « coups de cœur ».

Les 9, 10 et 11 juin, c’est le 320_remycrambesRémi Crambes Trio qui ouvre le festival. Du modern jazz, dans la tradition du trio Ponty-Humair-Louiss. Le violoniste Rémi Crambes est entouré de Camille Thouvenot à lorgue et de Wendlavim Zabsonre à la batterie. Au programme, des compositions de W. Shorter, J. Coltrane, T. Monk, et quelques compositions originales. Improvisation et groove sont de la partie.

320_strachoLes 23, 24 et 25 juin, est programmé le Stracho Temelkovski trio ou Nerazdeleni trio. Le leader multi instrumentiste ( basse / viola / mandole / percussions) s’est entouré de Jean-François Baez (accordéon) et Jean-Pierre Sarzier (clarinette basse). Le trio propose un Jazz oriental sans frontières puisant dans les sonorités acoustiques et dans l’oralité des rythmes asymétriques. Un voyage tout en nuances, au cœur des Balkans, de la Méditerranée et de l’Afrique.

320_memakeLes 27, 28 et 29 juin, la musique de Mémaké résonne sous les arcades du Péristyle. comme François Merville, le batteur, Ma, comme Lionel Martin le saxophoniste, Ke comme Benoît Keller le guitariste. Le trio promet un jazz libre et expressif issu de leurs influences musicales. Une promesse de dépaysement dans des mondes imaginaires et colorés.

320_vallognes-teruel-oukridLes 04, 05 et 06 août, place au Vallognes/Téruel/Oukrid Jazz Trio. Ce trio piano-basse-batterie promène son inspiration dans les standards et les comédies musicales. Ces musiciens complices et inspirés réservent toujours des surprises. La certitude d’écouter un jazz libre et inventif.

320_bossayearsLes 8, 9 et 10 août, le Péristyle rime avec Brésil et plus précisément avec un style musical des années 60, la bossa-nova. Le Bossa Years Quartet propose son répertoire interprété par le saxophoniste Michael « Getz » Cheret (qui annonce d’emblée sa référence, le grand Stan Getz), Priscila Valdazo au chant et à la contrebasse et Zaza Desideiro à  la batterie. La guitare a amplement contribué au style bossa-nova et dans le groupe elle est tenue par Michel Perez. C’est un plaisir de retrouver ce musicien dont la délicatesse musicale n’a d’égale que sa modestie. Sa venue à Lyon dans le contexte de ce quartet constitue un évènement incontournable.

zaza-emerton-151-85Les 15, 16 et 17 août, le Brésil sera encore de la partie avec le Duo Desiderio - Oliveira. Ces deux brésiliens ont grandi en écoutant des musiques traditionnelles et instrumentales de leur région respective. Ils ont appris la bossa-nova, la Musique Populaire Brésilienne, le jazz et se sont rencontrés en France où ils ont goûté à d’autres cultures musicales. Une grande complicité lie le pianiste Ewerton Oliveira exégète de la musique de Hermeto Pascoal et Zaza Desideiro, batteur quasiment incontournable dans la région. Thèmes d’ici, improvisations d’ailleurs, mélodies de là bas… tout est prétexte à musique. De beaux moments en perspective.

320_wondercollectiveLes concerts du Péristyle se terminent toujours de belle manière. Comme pour graver un souvenir impérissable dans les mémoires. Cette année ne manquera pas à la tradition puisque les 01, 02 et 03 septembre, c’est Wonder Collective, un orchestre de onze musiciens professionnels qui terminera la saison. Comme le nom du groupe l’annonce, c’est un hommage gai et tonique à la musique de Stevie Wonder. Chanteur, choeurs, trompette, trombone, claviers, guitare, basse, batterie et percussions. Du groove joyeux en perspective, comme un  feu d’artifice pour marquer la fin de la fête.

Au-delà de ces « coups de cœur », la programmation tout en entière vaut le détour. Du jazz de qualité dans des conditions sympathiques sous le Péristyle de l’Opéra tout au long de l’été.

… avec quelques nouvelles surprises dessinées sur les vitres du bâtiment !320_peristyle2016

Clin d’œil à Nils Wülker & « Go »

Clin d’œil à Nils Wülker & « Go »

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Le duo Peirani – Parisien signe « Abrazo »

Le duo Peirani – Parisien signe « Abrazo »

Six ans après leur premier album « Belle Époque », le duo Peirani – Parisien revient avec « Abrazo ». Le saxophoniste et l’accordéoniste étreignent les mélodies, explorent les rythmes et revisitent à leur manière le tango. Élégant et mélancolique, l’opus fait la part belle à l’improvisation. Un album magistral dont la musique enchante de bout en bout.

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« Brel » par David Linx et Brussels Jazz orchestra

« Brel » par David Linx et Brussels Jazz orchestra

« Brel » par David Linx & le Brussels Jazz Orchestra

L’album « Brel » célèbre autant le « grand Jacques » que le talent du chanteur David Linx et le swing du Brussels Jazz Orchestra. Une absolue réussite !

72px_couv_brel « Brel » (Jazz Village/Harmonia Mundi), un disque enregistré en Belgique (à Gand) par David Linx, chanteur né à Bruxelles et un big-band basé à Bruxelles, le Brussels Jazz Orchestra (BJO). Un hommage qui emprunte les sentiers du jazz pour honorer Jacques Brel. Inspiré par la force des textes, David Linx insuffle la souplesse de son jazz. Le swing coloré du BJO impulse une énergie nouvelle aux grands standards de Brel.

Certes l’orchestre et le chanteur n’en sont pas à leur première collaboration mais le pari était osé. Risqué de reprendre Brel dont les textes et les interprétations sont inscrits dans toutes les mémoires. Risqué d’interpréter des chansons dont les versions d’origine ont bouleversé des générations mais David Linx n’est pas un homme que72px_BJO_brel_live les paris effraient, loin de là. Après avoir tourné pendant deux ans avec « A NOUsGARO » en souvenir de son ami Claude Nougaro, il a conçu de travailler de nouveau avec Frank Vaganée, le directeur artistique du BJO pour « chanter Brel ». Ensemble ils ont choisi onze des grands succès de Brel et les présentent en dix titres aux rythmes et ambiances variées. La voix du chanteur et le tissu musical étincelant du BJO font alliance pour servir textes et rythmes.

Dans « Brel » les chansons de Jacques Brel se transforment en morceaux de jazz sans rien perdre de leur âme. Les tonalités émotionnelles, joie, tristesse, amour sont conservées.Les arrangements écrits par Pierre Drevet, Dieter Limbourg, Lode Mertens, Gyuri Spies, Frank Vaganée et Nathalie Loriers contribuent à densifier les atmosphères et à impulser des changements de rythmes qui évitent de reprendre la scansion rythmique propre à Brel. Les différentes palettes sonores du BJO colorent les plages de vigueur ou de langueur et avec les différentes sections de l’orchestre, le rythme s’emballe ou s’enroule autour de la voix d’un David Linx lumineux qui chante comme il respire.

Les trois villes célébrées par Brel sont sublimées. La version de « Bruxelles » est étourdissante, elle déborde de vie, de couleur et de mouvement. Pendant huit minutes cinquante cinq, on se trouve transporté dans un Bruxelles scintillant que le scat de David Linx et le chorus de Frank Vaganée (saxophone alto) contribuent à rendre encore plus « bruxellant ». Amsterdam et Vesoul sont enchaînées dans « Vesoul/Amsterdam ». Une valse ébouriffante où le solo du trompettiste Nico Schepers termine « Vesoul » et passe le relai à David Linx pour les dernières mesures d’un « Amsterdam » émouvant chanté en anglais, comme un clin d’œil à cet autre David (Bowie) qui avait interprété le titre. On a encore la tête qui tourne à l’écoute de la « Valse à mille temps ». Il vient vraiment l’envie de valser au rythme de l’amour, de Paris et du swing de ce morceau plus flamboyant que jamais. Une vraie tornade de musicalité !

C’est avec beaucoup de sensibilité que David Linx interprète « Ne me quitte pas » et « Isabelle » délicatement murmurée en anglais. On croyait connaître « Mathilde » mais nous voilà surpris. La bougresse se balance sur des rythmes latins et à n’en pas douter avec son scat impérial, David Linx devrait gagner le cœur de la Mathilde tant convoitée. Sur « Ces gens-là », le chorus de Bo Van der Werf au saxophone baryton s’allie de belle manière au chant de David Linx qui dessine avec émotion les portraits de ces gens auxquels on était habitués mais que l’on redécouvre avec bonheur.

Un « Brel » somptueux à écouter et ré-écouter dès sa sortie officielle le 10 juin. Il est aussi possible d’écouter David Linx & le BJO sur scène le 26 juin à 16h au Parc Floral dans le cadre du Paris Jazz Festival.

Clin d’œil à Nils Wülker & « Go »

Clin d’œil à Nils Wülker & « Go »

Pour l’homme toujours en mouvement qu’est Nils Wülker, rien d’étonnant à ce que son dernier album sorti le 04 septembre 2020 s’intitule « Go ». Le compositeur et trompettiste hambourgeois opère une plongée réussie dans la musique électronique. Dix titres pour découvrir des atmosphères énergiques ou planantes, cinétiques ou oniriques. Un voyage serein qui conjugue joie de vivre et espoir en devenir.

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Harold López-Nussa revient avec « Te Lo Dije »

Harold López-Nussa revient avec « Te Lo Dije »

Deux ans après « Un Día Cualquiera, Harold López-Nussa revient avec « Te Lo Dije ». Sur son troisième album chez Mark Avenue Records, le pianiste cubain propose une voyage musical coloré et festif. Reggaeton, Songo et Mozambique irriguent les propos du quartet et de ses invités. Une musique énergique et très actuelle dont les accents vibrants mêlent jazz et pop cubaine.

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Le duo Peirani – Parisien signe « Abrazo »

Le duo Peirani – Parisien signe « Abrazo »

Six ans après leur premier album « Belle Époque », le duo Peirani – Parisien revient avec « Abrazo ». Le saxophoniste et l’accordéoniste étreignent les mélodies, explorent les rythmes et revisitent à leur manière le tango. Élégant et mélancolique, l’opus fait la part belle à l’improvisation. Un album magistral dont la musique enchante de bout en bout.

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« Gershwin » par J.M. Foltz & S. Oliva

« Gershwin » par J.M. Foltz & S. Oliva

Jean-Marc Foltz & Stéphan Oliva brodent « Gershwin »

Avec l’album minimaliste « Gershwin », le clarinettiste Jean-Marc Foltz et le pianiste Stefan Oliva revisitent en duo le monde du compositeur américain G. Gershwin. Le silence teinté de bleu dessine une musique de nuit intimiste.

Le clarinettiste Jean-Marc Foltz est issu du monde classique et contemporain alors que Stefan Oliva s’inscrit dans la famille du jazz où son élégance musicale a de tout temps fait l’unanimité. Les deux musiciens ont déjà croisé les notes à de multiples occasions. Ensemble ils avaient déjà parcouru et tissé à leur manière le répertoire classique pour piano et clarinette en 2011gerswhwin_couv dans leur précédent opus, « Visions Fugitives » (Vision Fugitive/Harmonia Mundi).

Ce nouvel album « Gershwin » (Vision Fugitive/Harmonia Mundi) à paraître le 27 mai 2016 prolonge donc leur rencontre autour de neuf titres de George Gershwin, de deux compositions originales, une du  pianiste et une du clarinettiste et de la célèbre composition de Vernon Duke et Ira Gershwin, « I Can’t get Started » que l’on écoute.

160px_JMFoltz-SOlivaLes œuvres de Gershwin ont autant été interprétées par des musiciens issus de la sphère classique que par les jazzmen. Dans « Gershwin », le propos musical de Jean-Marc Foltz et Stephan Oliva émarge dans un univers dont l’esthétique se situe à l’interface du jazz et de la musique classique. Au premier, les musiciens empruntent la liberté, au second ils capturent l’esprit de Ravel. Avec ces deux interprètes, oublié le cliché du glissando de la clarinette introductif de la « Rhapsodie in Blue » qui retrouve  les « fondamentaux » de la musique classique.

Les musiciens étirent le temps et le distendent avec une sobriété qui confine au dénuement, avec une élégance dont la sérénité n’a d’égale que la poésie qui s’en dégage. Et l’incroyable advient … du dépouillement jaillit l’émotion, une émotion qui nous habite encore longtemps après l’écoute de cet album empreint de bleu et de silence.

Leur version de « Summertime » est comme alanguie par la chaleur écrasante d’un soir d’été. Dans « ‘S Wonderful (morning) », les deux musiciens nous content la beauté de la fin de la nuit quand l’aube blanchit le ciel. Plus tard, ils nous proposent une version tout aussi éthérée de « ‘S Wonderful (evening) » pour dessiner l’esthétique du crépuscule qui efface le jour. Deux véritables poèmes que nous recevons comme des merveilles. Le « Prélude N° 2 Blue Lullabye » advient comme une introduction du thème « I love you Porgy » dont la mélodie exhale l’essence même de l’amour.

C’est un amour attendu et souhaité qui se dessine en délicatesse dans la version de « The man I love ». « Fascinating Rythm/Some one to watch over me » est dédié à Woody Allen dont on connaît le goût pour le jazz et la clarinette. De titre en titre, les notes sont soufflées et caressées. C’est sans doute le titre qui emprunte le plus à l’esthétique rythmique du jazz.

Même après qu’il ait regagné sa pochette, le disque tourne en boucle dans nos têtes et la magie opère. D’ailleurs la pochette dessinée par Emmanuel Guibert restitue tout à fait l’atmosphère ourlée de bleu et de silence qui caractérise cet album. Il est essentiel par ailleurs de préciser que la qualité du son doit aussi beaucoup au talent de l’ingénieur du son, Gérard de Haro, puisque l’opus a été enregistré dans son studio de la Buissonne en novembre 2015.

Pour s’immerger dans le clair-obscur de la musique de l’album « Gershwin », plusieurs options se profilent. Attendre le 27 mai, date de la sortie annoncée pour le disque sous le label « Vision Fugitive » ou… prévoir une escapade musicale pour écouter le duo Foltz/Oliva, soit le 17 mai à 21h à Paris au Sunside soit le 18 mai à la chapelle du Méjan dans le cadre de « Jazz in Arles ».

Le teaser de « Gershwin » permet mieux capter l’essence mystérieuse de cette musique.

Clin d’œil à Nils Wülker & « Go »

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