Deux concerts du Michel Fernandez 4tet
Les 18 et 19 octobre 2017, le Bémol 5 accueille Michel Fernandez en quartet. Après la sortie de l’album « Brazza Cry », c’est l’occasion ou jamais de découvrir sur scène le nouveau projet du saxophoniste. Du jazz libre et énergique.
En automne, les feuilles tombent mais les concerts continuent de fleurir au Bémol 5. Après septembre marqué par les deux concerts du pianiste René Urtreger qui ont comblé le public présent, la programmation d’octobre 2017 réserve son lot de surprises et de réjouissances. Les propositions se diversifient et les styles musicaux variés devraient plaire à des publics tout aussi divers.
Ibra Galissa (kora) et Marc Liebeskind (guitare) avec leur quartet « Talking Strings » (11 octobre), le batteur Bernard Doussin qui se produit en quartet avec Jean-Louis Almosnino, Alexis Requet et Stéphane Rivero (13 & 14 octobre), le chanteur Rafa Caballero et son projet « Trafalgar en acoustique » (20 & 21 octobre), le « Bounce Trio » de Matthieu Marthouret (25 & 26 octobre), le quartet de la saxophoniste Nora Kamm (27 & 28 octobre). On note avec intérêt que la « jam session friends and neighbors » du 20 octobre est animée par le batteur Stéphane Foucher, le contrebassiste Christophe Lincontang et le pianiste Ludovic Yapoudjian.
Les 18 & 19 octobre 2017 le Bémol 5 accueille Michel Fernandez en quartet. Ces deux concerts s’inscrivent dans le cadre de la tournée de lancement de l’album « Brazza Cry » (Disques Futura et Marges). Sur les sept plages de l’opus, lamentation et allégresse se côtoient pour le meilleur. Cet opus enthousiasmant dégage une énergie communicative qui sied aux prestations live.
Le saxophoniste (ténor & soprano) Michel Fernandez se produit avec son nouveau groupe constitué du pianiste Joël Sicard, du contrebassiste François Gallix et du batteur Nicolas Serret. Pour précision la soirée du jeudi 19 octobre 2017 est suivie de la fameuse jam session du jeudi institutionnalisée par le Bémol 5.
Attaché à ses racines, les musiques libertaires des années 60/70, free-jazz et Afro-Beat, le saxophoniste Michel Fernandez propose son nouveau projet qui navigue entre jazz modal et musiques du Sud. Les quatre compères livrent une musique ancrée dans le free-jazz et l’Afro-Beat qui se projette dans un avenir prometteur et plein d’allégresse. Au répertoire, compositions originales et reprises de thèmes. Que du bonheur à la clef, avec ou sans bémols !
Sans aucun doute le live sied à la musique du Michel Fernandez Quartet. Rendez-vous donc les 18 ou 19 octobre 2017 au Bémol 5. C’est l’occasion ou jamais d’écouter (ou ré-écouter) un jazz libre et énergique qui navigue entre lamentation et spiritualité, entre incandescence et incantation. A ne rater sous aucun prétexte !

Jazz Campus en Clunisois 2025 – Trio ETE
Pour la cinquième et dernière soirée au Théâtre les Arts de Cluny, le superbe Jazz Campus en Clunisois 2025 invite Andy Emler à la tête de son trio ETE. Pour son nouveau projet, « There is another way », le pianiste et compositeur réunit autour de lui le contrebassiste Claude Tchamitchian et le batteur Éric Échampard. Trois complices inspirés au service d’un univers musical en expansion. Trois musiciens inspirés, une musique en expansion.

Jazz Campus en Clunisois 2025 – Francesca Han – Lisa Cat-Berro
Pour son cinquième soir sur la scène du Théâtre les Arts de Cluny, c’est un double plateau que propose Jazz Campus en Clunisois 2025. Après le concert solo de la pianiste coréenne Francesca Han, la saxophoniste Lisa Cat‐Berro, à la tête de son quintet, présente son programme « Good Days‐Bad days ». Une soirée en deux temps où le tumulte succède à l’élégance.

Jazz Campus en Clunisois 2025 – Six Migrant Pieces
Pour sa cinquième soirée au Théâtre Les Arts de Cluny, Jazz Campus en Clunisois accueille le projet de Christophe Monniot, Six Migrant Pieces. Entouré de cinq musiciens et de Sylvie Gasteau, le compositeur et saxophoniste présente une ode à l’humanité et la bienveillance. Chaque membre du groupe a une histoire personnelle inscrite dans la migration. Véritable manifeste poético-politico-musical, le programme de la soirée résonne avec l’actualité et engage au respect de la différence. Un grand moment du festival… la fièvre monte à « Cluny City » !